On donne 4 versions, 4 pianistes qui n’ont pas la même vision de Bach. Après l’Aria, la variation 1 est très connue pour ceux qui écoutent Finkielkraut, son émission “Répliques”. C’est le générique. Je l’écris pour libérer le lecteur d’une insomnie provoquée par une interrogation du “déjà-entendu”. Comme j’ai écrit un jour que la nomenclature des oeuvres de Bach n’était pas “BMW“, firme également allemande, mais “BWV“. Evidemment que personne n’avait commis l’erreur. Puis, dans la meme veine puisque feins d’être de bonne humeur, il s’agit des variations “Goldberg” et non “Goldenberg”. Faut bien se détendre.